C'est le mot qui a occupé mon esprit tout l'après-midi d'hier, tout de suite après l'effroi, après l'horreur, après les larmes et la colère...
Parce qu'aujourd'hui, le cœur n'y est pas, parce que cette réalité est encore trop difficile à accepter, parce qu'il faut réagir et ne jamais laisser gagner l'obscurantisme, parce qu'il faut rendre hommage aux victimes...
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